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22- Y a-t-il un jugement dernier après la mort ?

 

1./ Le terme jugement dernier n’est pas tout à fait juste, car en principe ce ne sera pas le dernier, puisque après chaque mort successive, il y a la re-visitation de la vie passée dans tous ses détails et repli sur soi de toutes les fautes qu’il est nécessaire d’endosser.

En outre il ne s’agit pas d’un jugement, mais plutôt d’une acceptation volontaire de tout ce qui a été fait. Ce n’est pas pareil puisque le seul juge qu’il y aura ce sera nous-même.

 

2./ Oui, si vous concevez qu’il est nécessaire d’être puni pour toutes les fautes passées, car tout ce qui a été fait en mal et en bien reviendra plus tard en bien et en mal, car le mal est opposé au bien et le bien est opposé au mal.

 

3./ Le jugement dernier est une invention réaliste, mais qui n’existe pas sous la forme où elle est comprise en rapport avec ce qui se passe sur terre. Ce que l’on appelle le jugement dernier est issu de certaines religions et était destiné à faire peur de ce qui se passe après la vie, pour que les personnes restent dans le droit chemin en les maintenant dans la crainte du péché. Cela part d’un bon sentiment, mais comme le but de la vie c’est de prier Dieu pour qu’il nous aide à être meilleur, cela n’est pas tout à fait juste et cela détourne au contraire du but.

Si nous (Energies supérieures) intervenons dans la vie des personnes qui sont mortes pour leur dire ce qu'est le bien ou mal, cela n’a aucun sens car c’est à la personne seule de s’adresser à nous au moment de sa mort pour savoir si, quand elle aura atteint cet espace qui permet la re-visitation intégrale, elle est apte à accepter oui ou non ce qu’elle a fait. Si elle accepte, elle sera directement propulsée dans l’au-delà qui est la place que chacun devrait atteindre, sinon elle ira ailleurs.

Ce n’est pas la gravité des fautes qui ne nous permet pas d’atteindre l’au-delà, mais la non acceptation des fautes. Il est donc nécessaire d’assumer tout ce que l’on a fait, même les fautes les plus terribles, si on ne veut pas finir dans un bas-fond qui ne serait, mise à part la souffrance que cela apporte, qu’un retard de plus vers ce qui doit être pour atteindre le but ultime que chacun peut espérer.

 

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23- Qu’est-ce qu’un arbre sacré ?

 

1./ Effectivement, certains arbres sont sacrés, comme l’olivier, par exemple, mais il y a différents niveaux de sacré.

 

2./ Un arbre sacré est un arbre qui a au plus profond de ses cellules été très peu modifié de son origine première. Ces arbres n’ont donc rien de plus, ou de moins qui soit visible et qui montre leur nature sacrée. Cela n’a pas d’importance qu’un arbre soit plus ou moins sacré, car il s’agit d’une création de Dieu plus ou moins dégénérée et qui vivra plus ou moins vieux.

 

3./ Au départ tous les arbres étaient sacrés, mais c’est leur nature matérielle, qui les à fait muter pour des raisons qui n’appartiennent qu’à la nature et qui les a progressivement fait descendre de leur piédestal. Il n’y a aucune raison de vénérer plus un arbre qu’un autre, sachant quand même qu’il vaut mieux être entouré par le sacré que par le déchu.

 

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24- Pourquoi certaines familles sont-elles « poursuivies » par le mauvais sort et la maladie, et d’autres non ?

  

1./ Il y a la loi des séries qui s’applique à certaines familles qui vivent dans le malheur. Mais cette loi des séries existe collectivement et individuellement, c’est à dire que ce n’est pas le hasard si ces familles subissent cette malédiction permanente. Cela est dû aux consciences qui sont attirées par ces familles qui les accueillent dans leur sein. Il faut considérer que l’aspect individuel, s’il est dirigé, peut apparaître comme du collectif. Ce sont des consciences individuelles qui, ajoutées les unes aux autres font un collectif qui se ressemble, car les consciences au départ viennent pour régler les malédictions qui semblent rattachées à la famille, mais qui en fait sont rattachées à chaque membre de la famille.

 

2./ Il y a des fautes collectives qui sont à régler en famille, car il y a au niveau de la famille le collectif de la famille qui est rattaché à tous les ancêtres passés, ce qui crée l’esprit de la famille. Suivant la nature et la justesse, il y aura des liens avec des fautes collectives déjà faites dans le passé qui vont se perpétuer de génération en génération, tant que rien ne sera fait pour annuler les fautes passées.

 

3./ Bien que cela soit relié à des constellations, les fautes collectives passées le sont aussi par rapport à l’ethnie. L’ethnie, c’est la matière de base et donc cela remonte à très loin ; Suivant ce qui a été fait au début de la matière, il peut y avoir des ethnies qui ont été dans l’erreur la plus totale. Les représentants de ces ethnies sont soumis à ce genre de chose, c’est à dire à être poursuivis par ce qui est une erreur fondamentale.

 

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25- Quelle est la différence entre âme et esprit ?

 

1./ La différence est essentielle, mais il n’est pas utile de faire la différence. Si alors on parle de différence sans faire de différence, c’est qu’il y a une différence. Tout cela va vous paraître ambigü et pourtant cela ne l’est pas. L’esprit c’est ce qui sort de l’âme, qui se projette de l’âme et l’âme c’est ce qui est émis de l’esprit. Donc, l’âme et l’esprit ne font qu’un, tout en étant différent. Vous ne voyez peut-être pas bien ce qui est dit là, mais l’important est de comprendre que l’âme et l’esprit sont indissociables et très liés entre eux, et que sans eux, il n’y aurait aucun pardon possible. Voilà donc un nouveau mystère qui a été prononcé, le mystère de l’esprit de l’âme.

 

2./ L’esprit et l’âme sont deux énergies qui ont été conçues à des moments différents. L’âme a été créée à cause des premières fautes graves de l’humanité et l’esprit à pris naissance dans l’âme par la suite, car ça ne s’est pas arrangé. Il y a eu donc l’esprit qui a fait la liaison avec l’âme et la matière puis, après avoir transmis son message à l’âme, il est redevenu matière. La matière est restée reliée à l’âme par l’esprit de la matière qui a été créée. Donc, il y a plusieurs esprits, car l’esprit peut être créé à plusieurs niveaux et quand on parle d’esprit de la matière, cela relève de l’intelligence de la matière, laquelle est remplie de l’esprit aussi, mais qui n’est pas supérieur. Il est donc nécessaire, quand on parle d’esprit, de définir à quel niveau cet esprit a été créé. Voilà un nouveau point développé qui concerne l’esprit, sachant que quel que soit le niveau, cet esprit sera rattaché à l’âme originelle en conséquence de la matière qui a généré l’esprit.

 

3./ L’âme originelle est bien loin d’ici et, si on parle d’âme, il faut savoir de quelle âme on parle. S’il s’agit de l’âme la plus proche reliée à la matière, elle fait partie du cercle continu de vies successives éternelles. Si elle est en dehors de tout cela, elle fait partie de l’éternité éternelle, à ne pas confondre avec l’éternité qui est soumise à la fin des temps. Il est donc important quand on parle de l’âme, de savoir à quel niveau celle-ci est comprise et l’on voit bien que la différence entre elles est grande.

 

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26- Pourquoi, d’une manière générale, les filles semblent plus en avance sur les garçons ?

 

1./ Les filles et les garçons sont deux sexes différents et donc deux énergies au départ différentes. Le sexe féminin est récepteur et le sexe masculin émetteur. Par ce simple effet de la féminité, les filles sont plus attentives à ce qu’elles reçoivent et sont donc plus remplies de la connaissance, ce qui se retrouve dans le comportement. Mais cela ne veut pas dire que le masculin ne reçoit rien. Il reçoit, mais moins bien, ce qui est visible dans le résultat final concrétisé par les actions dans la vie de tous les jours. Par contre, le problème de la fille c’est qu’étant apte à recevoir et à fonctionner à recevoir, elle ne va pas comme le garçon montrer tout ce qu’elle sait. Cela revient à dire que ce qui est vu comme différence entre fille et garçon, n’est que ce qui est visible dans l’expression. Ce qui pourrait être est souvent caché, ce qui fait que la différence est encore plus grande que ce que l’on pourrait croire.

 

2./ Il y a chez les garçons un blocage au niveau du cerveau qui inhibe une grande partie de l’émotion, ce qui le rend moins riche que les filles. Il y a des hommes sensibles, mais ici on parle de moyenne et en moyenne l’émotionnel est plus en retrait chez le garçon par rapport à celui de la fille. On a beau dire que l’éducation joue son rôle, à éducation égale cela se confirme. Il y a donc cette richesse émotionnelle induite chez la fille qui fait aussi une différence, une meilleure finesse proche de la sensibilité divine, d'où  un résultat qui va se retrouver dans les choix et qui va amener plus de réflexion. L’homme étant moins sensible, cela revient à se poser beaucoup moins de questions. 

Il y a chez la femme  l’intuition féminine, qui n’est pas exactement reliée à l’émotion, mais qui s’en rapproche. Et il est probable que sans cette sensibilité émotionnelle, l’intuition qui est une intelligence de la conscience serait amoindrie.

 

3./ Les filles, quoi qu’on en dise, sont peut-être en avance sur les garçons, mais cette avance n’en est pas une si elles ne peuvent pas la concrétiser. Effectivement, toute cette sensibilité à l'intelligence de la conscience qui s’affirme, et toute cette réceptivité peuvent engendrer, peuvent déclencher des peurs, car le fait d’être sensible amène de la réflexion mais aussi des peurs. Il y a donc une avance d’un côté, mais une peur de l’autre qui grandit dans le temps. Voilà donc un équilibre qui s’établit à la longue et qui peut même donner l’avantage (toujours en moyenne, car il y a des cas particuliers) aux garçons qui avancent sans peurs et sans reproches, même s’il y a des raisons d’avoir peur ou de se faire des reproches. Il s’agit donc d’une certaine inconscience qui permet aux hommes de faire des choses que la femme ne pourrait pas faire. C’est dans ce sens là que l’homme devient supérieur à la femme, par son inconscience, ce qui, si elle est contrôlée par une conscience correcte, n’est plus de l’inconscience mais dirigée à un niveau supérieur. Le tout est de savoir si cette inconscience est oui ou non de l’inconscience remplie d'une conscience supérieure ou non ?

 

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27- Y a-t-il besoin d’être dans une religion pour croire en Dieu ?

 

1./ La croyance et la religion sont liés forcément puisqu’il y a un lien entre la religion et Dieu, mais tous les croyants ne rentrent pas en religion et ce n’est pas la religion qui fait croire en Dieu, mais la croyance en Dieu qui fait croire à la religion.

 

2./ Un croyant croit en Dieu au plus profond de lui, mais cela ne veut pas dire qu’il croit à une religion. Certains croyants éprouvent même de l’aversion envers une religion. La religion ne fait pas le croyant mais peut renforcer la croyance.

 

3./ La religion et les croyants en Dieu sont un couple idéal, mais cela n’est pas toujours de mise. Certains croyants, croyant entrer en religion, entre dans un système verrouillé qui les bride plutôt qu’autre chose. Il est donc nécessaire d’être toujours vigilant et d’observer si la religion est pratiquée correctement, s’il n’y a pas des croyances erronées qui peuvent les écarter de leur chemin. Il n’est pas facile de contrôler tout ceci, car en étant immergé il est difficile de pouvoir ressentir ce qui n’est pas tout à fait juste.

 

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28- Qu’est-ce qu’un rêve ?

 

1./ Quand le sommeil nous gagne, que la conscience se déconnecte du mental et qu’il est nécessaire de rééquilibrer ou de dégager des mémoires qui se sont activées, toutes les conditions sont réunies pour rêver. Le mental n’étant plus connecté, le relais mental est assuré par une liaison avec le sacrum. Cette liaison directe avec l’âme permet le traitement des informations en lien avec le travail à faire. Il y a donc un film qui peut se dérouler avec des images en rapport avec ces mémoires à rééquilibrer. Mais les images ne sont pas dans l’ordre, car il y a un mélange entre ce qui a provoqué la résonance et la résonance interne elle-même, qui peut concerner des vies passées et donc des évènements très lointains. Il s’agira d’un film qui pourra paraître incohérent si le mélange des informations est trop grand.

 

2./ Il y a peu de différence entre le rêve ou la réalité car un rêve c’est vivre des évènements de la vie. Les actions sont virtuelles certes, mais bien ressenties et donc vécues bien que le corps ne participe pas à l’action malgré qu’il s’agisse d’actions.

 

3./ Il est possible de vivre un rêve éveillé et dans ce cas cela peut être un cauchemar, quand le rêve est trop fort sur un plan émotionnel. Il est donc souhaitable d’arrêter de rêver à partir de 5 heures du matin, car le jour il est plus délicat de rêver. La nuit il y a une imprégnation plus profonde que pendant le jour, à cause des énergies de la nuit qui permettent cela. Mais il ne faut pas croire non plus que le jour ne permet pas de rêver. Disons que le jour il y a plus de chance de tomber sur une mauvaise énergie que la nuit.

 

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