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29- Quel effet a la musique sur la conscience dite supérieure ?

 

1./ La conscience supérieure est la conscience reliée au « Tout » d’une manière privilégiée et n’est pas à confondre avec la conscience ordinaire telle qu’elle est comprise par la plupart.

L’effet sur la conscience supérieure est bon, agréable et joyeux quand la musique est harmonieuse. Malheureusement, de nouveaux tempos à vous perturber les tympans ont vu le jour et cette musique là est à proscrire, sous peine de risques d’addiction à cette musique répétitive, qui se déclame comme une rengaine.

 

2./ La musique adoucit les mœurs, c’est vrai, mais seulement si elle est juste et variée. La variété est une richesse très importante pour qu’il n’y ait aucune agressivité, car un aspect répétitif vous fait tomber dans un endormissement subtil, mais qui se développe aussi bien pour celui qui l’écoute que pour celui qui la vit en la jouant.

 

3./ La musique c’est la musique et les paroles sont des paroles. Parler n’est pas chanter et ne pas confondre la musique obtenue avec des notes et les battements rythmés d’un tambour qui donne la cadence. La cadence soutient la musique, mais n’est pas de la musique. La cadence, c’est ce qui pénètre l’esprit, c’est ce qui fixe la musique. Donc, la cadence est très utile, mais doit être derrière la musique et non être de la musique. S’il n’y a pas cet échange, car c’est un échange, entre le rythme et les notes de musique, il vaut mieux éviter cette musique car il y a désunion. Cela est peu visible, car il n’y a pas de faux battements de tambour, mais quand on n’écoute que du tambour avec, dessus, une musique qui n’est pas assez riche, cela n’est pas de la musique qui adoucit les mœurs, c’est à dire équilibrante au niveau de la conscience et de l’esprit, mais au contraire une musique destructrice pour tous ceux qui vont devenir dépendants de cette musique. Cela ne veut pas dire que cette pratique n’est pas intéressante, car cela est très utile à l’occasion, pour des circonstances particulières où il est nécessaire d’attirer l’attention, mais pas pour tous les jours, ni à longueur de journées.

 

 

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30- Qu’est-ce que la réalité ?

 

1./ La réalité devrait plutôt s’appeler la réalité de l’illusion, car la réalité telle que vous la concevez n’est que l’illusion de la réalité.

 

2./ La réalité c’est ce qui est propre à chacun car chacun a sa réalité. Il y a bien évidemment une réalité commune à chacun et elle est obtenue par la matière organisée qui permet à partir de l’intelligence de l’homme, qui n’est que l’intelligence de la matière, de retrouver une intelligence commune de la matière, une intelligence de base, centrale à tous les hommes et qui, en lien avec lui-même, permet d’exprimer ce qui est juste au niveau de la matière. Il s’agit donc d’une vérité de la matière qui peut être juste, ou fausse, si la matière est altérée ou si le système organisé autour de la matière et qui crée au final l’intelligence, est perturbé ou détourné. C’est donc d’une réalité variable en fonction de la perception et des facultés de chacun qu’il s’agit.

 

3./ La réalité est ce qui apparaît aux yeux de chacun avec des verres de lunettes que chacun porte. La réalité peut donc être floue, grossie, rapetissée, déformée ou carrément aveugle sans aucune perception. Même si celle-ci est mesurée ou photographiée par des appareils, il n’y a pas qu’une seule réalité, car même les appareils ont chacun leur réalité et suivant le modèle et la fabrication ils permettent d’obtenir des clichés différents. Cela confirme bien que la réalité, celle qui est observable, n’est que ce que l’on peut voir avec les moyens mis à disposition. Si vous étiez une mouche, vous seriez bien surpris d’observer la réalité de la mouche. Mais vous êtes humains, comme nous, et pourtant il n’y a aucune comparaison entre votre réalité et la nôtre, celle qui sera vôtre quand l’heure sera venue.

 

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31- L’humanité a-t-elle une histoire ?

 

1./ La famille est une chose sacrée car elle commence à partir de trois. Mais cette famille-là est une famille terrestre du moment. La famille est quelque chose qui peut être beaucoup plus vaste que cela, et la première famille à considérer est la famille UNE, celle qui concerne l’ensemble de l’humanité. Cette famille a été créée il y a bien longtemps avant Adam et Eve car cela remonte à la nuit des temps, dans des temps très anciens que même les archéologues ont du mal à remonter. C’est donc quand il n’y avait rien, ou disons pas grand chose, que la première famille a été créée. Il n’y avait ni eau, ni air et il n’y a pas besoin d’eau ni d’air quand on n’a pas d’estomac ni de poumons. Donc, l’origine de l’humanité est vraiment archaïque ; il s’agissait de simples embryons qui ne demandaient qu’à évoluer. Il est difficile de concevoir que l’humanité puisse être issue de quelque chose qui n’a rien à voir avec l’image humaine d’aujourd’hui et pourtant c’est cela, et Darwin qui actuellement est très controversé, ne le démentirait pas. Cette première brique humaine a donc créé d’autres briques qui de briques en briques ont permis au milieu de la nature qui a fait de même, d’arriver à l’homme de Cromagnon qui était déjà la forme évoluée quasi définitive que nous retrouvons actuellement. Pour revenir à la famille, il est possible de partir de ces quelques êtres évolués qui ont réussi toute l’évolution jusqu’à eux-mêmes, et donc de considérer les familles ainsi constituées. Au départ, il y en a eu douze, et il y a donc douze types distincts. Mais il y a eu des mélanges des uns et des autres, et depuis, tout le monde a une partie de chaque famille. C’est pour cette raison que l’on peut dire qu’il n’y a qu’une seule famille, la famille UNE de l’humanité qui est le mélange de ces douze familles de base qu’il est impossible de retrouver d’une façon dissociée.

 

2./ La famille terrestre ainsi constituée avait au départ un but unique, qui était de se sortir de tout le mal qui a été fait par sa propre évolution. Cela a été vite compris par les premiers humains qui étaient parfaitement reliés. Mais le passage à l’être évolué n’a été fait qu’au détriment de ce qui les reliait au Divin qui les avait créés. Il y a automatiquement coupure dès que l’on croit que l’on fait par sa seule intelligence, car l’intelligence qui est reliée à la matière l’est aussi au supérieur, et le supérieur coupe son assistance et laisse l’individu à ses tracas quand il y a cette manifestation d’indépendance rattachée à ses sens. Il y a eu donc de grandes coupures avec l’être intérieur Divin et, en conséquence, sont arrivées et continuent d’arriver toutes les catastrophes provoquées par l’homme lui-même.

 

3./ L’histoire de l’humanité ne concerne pas que l’être incarné, car cet être incarné ne meurt jamais et travaille ou plutôt continue son travail après sa mort. L’humanité concerne donc les morts, qui sont aussi vivants que vous, et la différence c’est que eux le savent, et pas vous. Il est donc important de considérer que l’histoire de l’humanité se fait autant avec les vivants, qui écrivent l’histoire par leurs actes, qu’avec les morts, qui vivent aussi leur vie et qui écrivent l’histoire à travers leurs actions divines, qu’ils insufflent à ceux qui veulent bien les écouter.

 

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32- Qu’est ce que le temps ?

 

1./ « Le temps n’est rien, le temps n’est rien d’autre… » dirait la chanson, qu’une rengaine qui se répète à souhait. Il s’agit d’un écoulement qui est toujours le même, qui est quelque chose d’aussi répétitif que le Boléro de Ravel auquel on rajoute au fur et à mesure de l’avancement une nouveauté, un nouvel instrument, qui permet de rendre le temps plus riche, de plus en plus riche par sa diversité au fur et à mesure de son avancement. Donc, vous voyez que le temps n’est pas le même pour tout le monde ; il dépend de sa richesse intérieure du moment.

Mais alors pourquoi le temps est si différent alors que les pendules et les montres l’indiquent identique ? Eh bien parce que le temps n’est que l’illusion de ce que nous voyons. Suivant ce que vous faites, il va passer vite, pas vite, extrêmement vite, mais toujours ce sera une observation au niveau de chacun. C’est pour cela qu’un temps universel peut devenir variable quand il est pris au niveau individuel.

 

2./ Il est temps, maintenant que vous savez que le temps fixe n’existe pas, de considérer à quoi correspond le temps universel. Celui-ci est aussi variable que le temps individuel car il se situe à des couches différentes qui s’écoulent à des vitesses différentes. Il suffit de savoir dans quel temps on est pour pouvoir dire à quelle vitesse il s’écoule mais encore faut-il connaître tous les temps qui existent.

 

3./ Il est temps maintenant de jouer avec le temps. Le temps de rien, le temps de ne rien faire, celui actuel qui s’écoule, individuellement parlant, à une vitesse folle. Actuellement, le temps passe très vite pour l’humanité. Cela est dû à la société qui permet de passer le temps devant des consoles de jeu, des écrans d’ordinateurs, à faire tout un tas d’activités plus prenantes les unes que les autres, mais il n’y a pas que cela. Le temps s’écoule plus vite à cause de l’accélération de la conscience. La période actuelle active d’une manière plus vive le processus de dégagement des mémoires passées. Cela est très intéressant pour les consciences qui repartent ainsi mieux dégagées, mais cela entraîne forcément plus de perturbations au niveau de l’individu et aussi cet effet visible pour tous, que le temps s’accélère alors que la pendule continue au même rythme : celui de la planète, en rotation autour du soleil.

 

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33- Pourquoi certaines maladies ne guérissent pas ?

 

1./ La cause de la maladie est reliée aux péchés principalement, mais il n’y a pas que cela. Les fautes passées pèsent très lourd mais il y a aussi les erreurs de jugement dans cette vie-là, qui ont leur importance. Une erreur de jugement est un détour de la conscience par rapport à ce qui aurait dû être fait. Le principe des maladies et du mal être résulte du fait de ne pas écouter le Divin qui est très près de chacun. C’est lui qui dicte ce qui doit être fait. Si le détour de la conscience est trop grand, il y a des retours de bâton pour être remis dans l’axe et si vraiment rien n’y fait, un retour à la case départ d’une manière prématurée est parfois possible. Donc, écoutez bien ce que vous dicte le seigneur, qui est votre propre maître ; c’est la seule façon de guérir des maladies qui ne guérissent pas.

 

2./ Certaines maladies sont très imprégnées dans la matière quand c’est un pan tout entier de la conscience qui est atteint. Il s’agit du terrain de la matière qui est perturbé. Dans ce cas là, à moins de soigner le terrain, la guérison sera difficile. Rien n’est impossible, tout est possible, mais il s’agit de miracles, cela est plus rare et seuls certains bien placés ou méritants auront droit à ce traitement de faveur qui sont des grâces divines.

 

3./ Les maladies qui ne guérissent pas sont des maladies qui sont mal conscientisées. Au lieu de se braquer et de ne pas accepter sa maladie, il est nécessaire d’essayer de comprendre et d’aller plus loin que le bout de son nez dans la compréhension. Il s’agit d’une conscientisation du problème originel, qui est en général très difficile à trouver, car il n’est pas que dans la mémoire de cette vie. Observer ce qui a résonné avec la maladie est une bonne chose, car la conscientisation du problème est parfaitement juste ; il y aura amélioration de la maladie obligatoirement.

 

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34- Existe-t-il des vortex inter-dimensionnels ?

 

1./ Il faut tout d’abord préciser ce qu’est un vortex : il s’agit d’une énergie qui est générée à partir d’une source divine et qui, par un effet hélicoïdal de forces qui génèrent un mouvement hélicoïdal, permet de transmettre des énergies d’un espace à un autre. Donc, il s’agit bien dans ce cas là d’un vortex inter-dimensionnel.

 

2./ La réponse a déjà été donnée mais on peut ajouter des précisions. Ces vortex inter-dimensionnels sont chargés d’informations qui transitent d’une dimension à une autre et permettent ainsi un équilibrage des dimensions concernées entre elles.

 

3./ Il est possible d’ajouter que toutes les dimensions sont en lien entre elles par des micro-pores (si on peut les appeler ainsi) qui permettent entre ces dimensions de respirer d’un même mouvement celui qui est impulsé par le Divin.

 

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35- Est-il utile de prier pour les autres ?

 

1./ Non seulement c’est utile mais on pourrait dire que c’est indispensable si, sous le terme de « prier » cohabite le terme de « soigner », qui est une demande pour que l’autre aille mieux. Il suffit de s’adresser au Divin pour que le Divin délègue sa suite pour vous venir en aide. Il s’agit des privilèges de l’homme qui, grâce à la parole, a cette capacité particulière pour aider toutes les créatures de la terre. Il suffit qu’il s’adresse à Dieu pour que cela se réalise, mais encore faut-il qu’il croit d’abord en Dieu avant de ne croire qu’en lui-même.

 

2./ La prière est la connexion avec quelque chose de supérieur, et à partir du moment où on fait humblement allégeance et qu’on s’adresse au monde supérieur sans aucun intérêt personnel, en demande compatible avec ce qui peut être, il y a mise en mouvement de l’énergie Divine, il y a un processus qui est mis en place dans le monde de l’invisible, et c’est à chacun de voir par sa croyance, d’observer ce qui se passe et de reconnaître ce qui se passe. Mais il est plus facile de croire qu’il ne se passe rien alors qu’il se passe quelque chose. Le rêve et la réalité sont très proches et il est facile de croire à un rêve plutôt qu’à une réalité. Seule la croyance en une chose supérieure permet de voir la réalité.

 

3./ Les autres ou nous-mêmes, c’est pareil car le lien entre tous est permanent. Si on prie pour quelqu’un il y aura forcément un retour sur nous-mêmes un jour ou l’autre, car tout est relié. C’est juste une histoire de temps, et comme on fait une mauvaise action qui nous sera rendue, faire une bonne action au travers d’une prière cela aussi nous sera rendu. Cela veut dire que prier pour les autres, c’est aussi un peu prier pour soi-même.

 

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